Du 31 juillet au 17 août dernier, j'ai eu la chance de couvrir vingt-quatre concerts de la dernière édition du festival. La bonne jauge, sans doute, pour vivre en trois semaines un instantané, valant ce qu'il vaut et montrant ce qu'il faut accepter de voir en face, du monde pianistique de notre temps.
Neuf chroniques en ont résulté, avec l'inconvénient et l'avantage conjoints d'un recul forcé par... l'absence de tout support informatique sur place (un sevrage de l'enfer virtuel qui aura au moins eu pour moi l'inestimable avantage de faire la rencontre, inoubliable, d'un des plus grands chefs d'œuvres littéraires du XXè siècle, à tout le moins un de ces chocs littéraires comme on en connait rarement dans une vie: La Proie des Flammes de William Styron, mais c'est une tout autre histoire dont je parlerai sans doute un jour de désœuvrement). Ces comptes-rendus ont donc été rédigés à Paris au saut du TGV du retour: vous pourrez les (re)trouver en suivant ces liens.
Comptes-rendus des huit plus marquants: